Les Marcheurs du Crépuscule: Les Voies du Seigneur.

Je me retrouve seul dans la petite piece à coté de sélénia qui tentait ten bien que mal de secher ses larmes avec ça manche, je me demande d'ailleur comment elle peut s'essuiyé avec se tissu trempé. Faisant le tour de la piece je ne peut m'enpecher de détourner les yeux vers la petite. J''ai été plutot dure avec elle, se n'est encore qu'une gamine apres tout, je tente difficilement de trouvé les mot pour m'excusé, j'ai jamais été doué pour parler, reprenant mon courage a deux mains j'essaie de formulé une phrase compreensible :
" Désoler pour tout a l'heure, je n'aurais pas du te parler de cette façon, j'ai du te baraitre froid" Voyant ses yeux rougi se lever l'entement vers moi je sent que je vais dérapé, je change le sujet de la conversation tout en baissant les yeux de son regard. " Il y a 2 lits, nous somme trois, prend en un tu doit avoir envie de te reposé" Essayant de rajouté une touche d'humour je rajoute " Les draps seront surement trop petit pour secher toute tes larme si tu continue a pleurer alor repose toi, Marcus prendra l'autre lit, j'ai pas besoin de dormir je monterai la garde"
Je tente un dernier regard en sa direction, elle me sourit, surement, elle doit etre contente que je dorme pas avec elle. M'enfin je m'aprete a sortir de la piece pour rejoindre Marcus, laissant la petite s'instaler sur le lit.

Tout le monde parti, je pleure encore, mais avec un petit sourire aux lèvres! un lit! un vrai lit! ça faisait si longtemps!!!! je saute plusieurs fois dessus, il moelleux!!! ça fait tellement de bien! je me couche un moment, appréciant la douceur des draps, mes soucis envolés pour faire place au bien-être que me procure ce bon lit..... Puis je reprends ma raison.

Non, je n'ai pas le droit d'être encore un fardeau! J'ai déjà causé trop de soucis aujourd'hui pour en plus monopoliser un lit que je ne mérite pas!
Mon euphorie passée, je décide à regrets de me retirer de ce bon lit moelleux pour me coucher sur le sol aux pieds de celui-ci, le laissant libre pour Mr Cellendhyl quand il reviendra dans la chambre.
La pierre est froide et dure, avec pour seuls vêtements mes ces vieux torchons, je tremble de froid, mais j'ai l'habitude, au moins, ici, je suis à l'abri de la pluie qui fait rage dehors.

C'est avec beaucoup de difficultés que, dans mes derniers sanglots, je m'endors, roulée en boule sur le sol de l'église...

Le Père, faisant son office derrière l’autel de pierre, garnis d’un drap rouge et blanc, allumait des candélabres et versait de l’eau bénite dans une petite coupelle lorsque le jeune homme l’interrompit. Finissant tout de même d’allumer les cierges alors que Marcus, maintenant rejoint par le grand homme qui l’accompagnait, lui montrait une croix en lui demandant si elle paraissait étrange. Un bref coup d’œil de l’homme d’église, sur Marcus puis sur l’objet en question. Ses yeux cillèrent quelques instants avant de revenir se fixer sur les deux compères. Son expression n’avait pas changé, mais son ton avait un peu durcit, gardant toutefois une note chaleureuse.

« Je vois que les pécheurs ont parfois le besoin de se repentir. Est-ce vous, où un autre de votre connaissance qui avez volé cet objet sacré dans la grande église de Notre Dame de Paris ? Je conçois que vous vouliez la rédemption, mais la croix de Pierre n’est pas un objet saint que l’on peut se permettre de brandir partout, surtout après cet horrible vol à l’effraction et les blessures causées aux dix gardes de cette grande chapelle. »

Alors qu’il prononçait ces dernières paroles, le Père André fit un signe de croix en direction du grand icône représentant la crucifixion.

« Mais tout cela remonte à deux ans déjà. Pourquoi voulez vous la rendre maintenant, alors que la police et les affaires religieuses du Vatican s’y sont désintéressés ?
N’ayez crainte, je ne vais pas avertir la police, mais je voudrais vos raisons. »

Ils nous traite de voleur maintenant, ce vieux fou, je desteste les pretre, il n'ont comme seul arme leur parole, qui dans des moment de crise ne leur ai jamais d'une grande utilité. Sentant mon compagnon se raidir je me lance dans une phrase sans y mêtre mon coeur a la tache :

"Un homme nous la donner il y a pas si longtemps, il a juste eut le temps de nous remetre cette objet en murmurant des mot incompreensible pendant qu'il s'étoufait avec sont propre sang. Je laisse a mirvin le soins de vous expliquer les détails, moi je vais voir la petite dans la chambre, a leur qu'il est elle a due deja trempé les draps"

C'etais plus le fait de quité se vieux fou, histoire de lui sauvé la vie avant que je le coupe en tranche pour ça langue bien pendu.
Arriver dans la chambre je voie la petite couché sur le sol dur au milieu du passage. Elle aussi je vais la coupé en tranche, il y a deux lit , elle prefere dormir sur le sol. A tout les coup elle a penssé que j'etai sérieux quand je lui ai dit qu'elle allais mouillé tout les draps.
Prenant mon courage a 2 mains je me résigne a la porter pour la remtre sur le lit, en esperant quelle se reveille pas. Elle était telement crever que se ne fut pas le cas, ouff.
Apres un bref coup l'oeuil je me resigne a rejoindre Mirvin, qui a surement fini l'explication de la scene macabre....

Surpris de la réponse du père et surtout de la provenance de la croix ,je répond:
"Mais...C'n'est pas nous qui avons volez c'te croix!!Comme vous l'a dit mon compagnon nous v'nons de l'avoir!!Et j'n'ai jamais entendu parler de ce vol d'ailleurs!!"je me calme un peu..
"Nous n'voulons pas causer d'ennui mon pere!Nous partirons avant la nuit vous p'vez en être sure!Mais si vous saviez aut'chose sur c'te croix,pourriez vous nous le dire?"
devant la mine que fait le pere:"Je sais on vous opportune et nous somme desole de c'la mais nous d'vons vraiment savoir, un homme est mort pour nous l'apporter"
J'entend derriere moi des pas approchés,Cellendhyl revient,pourvu qu'il sache se contenir...

Je suis dans ma chambre à faire mes devoirs quand ma mère m'appelle
-Viens ma chérie! c'est l'heure de manger!
-J'arrive maman!
Je me met à table, le repas à l'air délicieux.
-Tu as fini tes devoirs?
-Presque, maman, il me reste juste à faire ceux de math et j'ai fini
-Et tu n'as toujours pas trouvé d'amie, n'est-ce pas? Ce n'est pas normal! Une fille de ton âge doit d'amuser avec ses copines, inviter ses amis à la maison, toi tu reste tout le temps à la maison, on est déjà au milieu de l'année et tu ne parles toujours à personne, mais qu'y a-t-il donc?
-Laisse la un peu respirer, tu lu fait toujours le même sermont
-Mais c'est vrai pourtant! tu ne vois pas qu'elle est toujours toute seule? ça ne peut pas continuer comme ça! elle est complètement associale!
Oui....C'est vrai.....je suis associale....Je n'arrive pas à parler en public, devant un inconnu, je bégaye, j'ai peur, je suis trop timide...
C'est avec le coeur plein d'amertume que je fini de manger, je fini mon verre et....mais? c'est quoi ça? l'eau est complètement gelée, je suis perplexe, puis je vois que le phénomène s'étend,gelée! ma chaise est gelée! la table est gelée! tout est gelé!
Je me rend compte maintenant que ça fait un moment que mes parents me regardent bizarrement...En fait, tout ce qui est autour de moi est gelé! Dehors, alors qu'il faisait si beau il y a quelques minutes, une violente tempête de grêle s'est déclarée.....
Je vois ma mère, choquée, mon père hoche brièvement la tête.....
-AHHHHHHHHHHHHHHHH MONSTRE! MONSTRE!

Je me réveille en sueur, un cauchemard! c'était un cauchemard! je remarque à peine que je suis maintenant dans un lit, je pleure aux souvenirs douloureux qui refont surface dans ma mémoire, tandis que la pluie torentielle continue à faire rage en dehors de l'église.....

Le Père, la mine perplexe, regarde un long moment dans les yeux bleus clairs de son interlocuteur, puis se décide enfin à parler, après s’être tordu les doigts un bon moment :
« Je dois avouer ne pas tout à fait comprendre mon fils, mais si vous me dites qu’un homme à rejoint les Cieux pour vous l’apporter, il doit y avoir une raison qui me dépasse. Venez, vous et votre ami. »

L’homme d’église s’en alla fermer les lourdes portes en bois de sa chapelle, avant d’enjoindre les deux hommes à le suivre dans une petite pièce, sans doute la chambre de l’homme. Là, un désordre pas tout à fait catholique régnait, mais sans en tenir compte, le Père André bouscula des paperasses pour libérer un bureau d’un tas de feuillets. Sur celui ci, un journal du coin traînait, de même que quelques coupures étrangères, toutes de journaux religieux. Puis il ouvrit le plus récent daté du 22 Mai à la page des Evènements. Là, on pouvait y lire :

Les portes du Grand Muséum s’ouvriront pour tous les fidèles croyants de ce monde et tous ceux qui veulent admirer la magnificence du Créateur. Une collection de pièces datant de diverses époques sera présentée au peuple pour que ceux qui veulent entreprendre leur ascension vers la religion puisse ouvrir leurs yeux et leur foi. De grands artefacts y seront déposés pour une semaine durant, la première de Juin, tels que le Suaire du Pape Pie I ou la couronne du dernier roi d’Autriche à s’être converti.
Bien entendu, le Vatican fera son office et de grandes messes seront célébrées pour l’occasion. Le Saint Père fait savoir que tous les prêtres du monde catholique sont les bienvenues et que les brebis égarées y trouveront leur salut.

Traduit de l’Allemand par J. Stigarr, pour la Seconde Exposition Sainte de Stuttgart, du 2 au 9 Juin 2002.

Avec ces quelques lignes, diverses photographie montraient le musée et certains des objets présentés. Parmi eux, une croix, au bout du doigt du Père, qui ressemblait de très grande façon à celle qu’ils avaient en leurs possession. Mais la photo étant en noir et blanc, il était impossible d’y voir quelque autre détail, mais la ressemblance ne s’y laissait pas tromper.

- Hum !! C'est la même cela ne fait aucun doute. Quelqu'un la surement volé durant cette exposition. Alor pourquoi refait-elle surface que maintenant ? Je pensse que ça cache quelque chose de plus profond et de plus complexe qu'un simple vole dans un musée, n'oublion pas que l'homme qui nous la raporter est mort. Ca doit avoir un rapport avec les marcheurs, Marcus tu en pensse quoi?, moi reflechir me donne des migraines.....

Voyant Marcus se concentré, l'air perplexe je fait le tour de la piece, mes sens éguisé par une movaise impression et une odeur nauséabonde. J'ai l'impression que notre repos vas se terminé plus vite que prévu....

Je me lève, je n'arrive plus à dormir, trop de soucis, trop de souvenirs horribles me reviennent en mémoire....
Je décide d'aller faire le tour de l'église, je vois de grandes statues, des monuments à la gloire du seigneur...
Pieds nus, j'ai un peu froid, mais cela ne m'arrête nullement, je continue mon exploration quand j'entends des voix! c'est vrai! mes compagnons sont encore réveillés, je décide donc d'aller les voir....
Je vois Mr Mirvin et Mr Cellendhyl discuter avec le prêtre, il leur montre quelque chose. Je ne vois pas bien, je m'approche.

-Tiens, Sélénia? T'fé quoi ici? tu dvrais pas dormir?
-Je n'arrive plus à dormir Mr Mirvin, j'ai ue un cauchemard

Je baisse la tête, j'ai honte, je sais très bien qu'une grande fille comme moi, n'a plus de cauchemards depuis longtemps, mais Mr Mirvin me rassure

-Bah s'pa grave ça'rrive on interrogeait le prêtre

-ah ouiiiiiii! au fait Mr le Prêtre? Vous avez pas entendu parler d'une prophétie? le monsieur qui nous a donné ça a dit que "les frères l'avaient prophétisés", vous savez pas ce que ça veut dire????

J'écarquille les yeux a l'entente du mot "marcheur" devant le pere....
Je tente de retrouver mon calme..
"Oui....euh...c'est sur q'c'est la meme...les coincidences j'y crois pas moi...
Mais ceci est tout d'meme interessant....Stuttgart...."
Je n'en dit pas plus ,le pere étant la...
"Merci beaucoup mon père,vous nous avez été d'une grande aide en tout cas..."
Je fais signe aux deux autres de venir avec moi,je file vers la chambre y rentre et attend qu'ils arrivent...

Un peu perplexe, le prêtre regarde la drôle d’assemblée. Sa façon de regarder la petite en disais long sur ce qu’il pensait de sa tenue, mais on le sentait perturbé par tout ce qui avait été dit. Dans un désordre parolier, il répondit pèle-mêle que non, ils ne connaissaient ni les Marcheurs, ni les frères, ni quoique ce soit d’autre, que les prophétie il n’y avait plus eut depuis ceux de la mer Morte et qu’il était impatient de voir s’il pouvait se rendre à cette exposition.

Après quelques paroles de bonne augure, tout le groupe s’en retourna discuter dans la petite pièce, Cellendhyl se creusant la tête, Marcus gêné par l’introduction des Marcheurs dans la conversation, Sélénia encore tremblante de son cauchemar.

Tout cela s’annonçait plus ou moins étrange…

Arriver dans la petite piece, nous restame tous les trois silencieux. Je me décida de prendre la parole :

" Bon, le vieux ne nous a pas beaucoup aidé, a part nous accusé de vol. Mais je n'ai pas confiance en cette homme, il y a quelque chose qu'il n'a pas voulut nous dire"

Les deux visage me regardait avec un air moqueur puis mirvin se consent a m'expliquer ce regard :

- A qui la faute, tu était pres a lui aracher la tête a la moindre movaise parole.(cela fit sourir la petite) Sinon je croi que tu as raison il y a un truk de pas net la d'an.

- Mouais, bon par ou commençon nous, j'aime pas reflchir seul.....

"Moi j'pense qu'il nous a tout d'même aidé...Ba oui,sur la coupure d'journal d'jourd'hui ,on voit c'te croix en photo....et c'est marqué que y a une expo' a Stuttgart...J'pense qu'ça vaudrait l'coup d'y aller...
Bon sa fait loin c'est sur,mais en même temps on part de c'te ville et c'est pas si mal!Qu'est c'que vous en pensez?"
Je fixe mes deux interlocuteurs ,espérant aller dans le meilleur sens...

On me regarde.....Je ne sais pas quoi dire...je reste immobile...
Finalement, ils se détournent de moi, et parlent entre eux
Je reste là, je pense à maman.....maman.....j'ai...besoin de toi...
Une larme coule sur ma joue, je l'essuie vite, ça ne doit pas se voir, je suis déjà assez encombrante comme ça..... mais quand même.....maman....

Après plusieurs minutes, j'entend Mr Mirvin:

- Allez, tout l'monde au lit on part d'main

Epuisée, je m'allonge sur un lit, oubliant tous mes soucis et je m'endors profondément.....demain sera une rude journée.....

Durant la nuit qui suivit, la pluie cessa enfin de tomber. Le bruit sourd sur les vitraux s’étant éteint, les trois compagnons n’étaient plus bercés par cette mélodie du ciel.
Comme ils l’avaient songés, réfléchis plus ou moins intensément et douté, ils allaient partir pour une grande ville Allemande dès le jour suivant. L’aéroport de Nantes, le train, la marche ou tout autre moyen de transport pouvait être utilisé, mais cela allait dépendre de leur fatigue et de leurs possibilités.

Le soleil se leva timidement sur les couvertures remises en état et pliées, dorant l’armoire devant laquelle la petite Sélénia finissait de remettre sa chemise en piètre état. Tournant la tête en direction de ses deux compères, ses cheveux balayèrent une dernière fois la petite pièce paroissiale. Toutes les bonnes choses ont une fin, disait-on. Maintenant, c’était à eux de pourchasser leur but…

N'ayant pas dormis d la nuit, ou presque, je masse mes couisse endolorie, ça passera dans quelque minutes me dit-je , j'ai l'habitude.
Voyant des compagnon se préparer pour le départ sans même savoir ou nous allons alez en premier lieu je tente de prendre la parole pour proposé une idée :

" Je pensse que le mieu serait de prendre le train jusqu'en allemagne. C'est un moyen rapide d'atteindre notre but. Arriver a destination on essayera de se faire plus discret. Les train sont aussi remplit de monde, il y a tres peu de chance de subir une attaque dans un lieu publique.... en tout cas moin que de marché dans des rue sombre pendant des semaines....."

Me réveillant, je m'étend dans le lit qui m'a été donné, je me lève, remet mon morceau de Tissu qui étais Jadis une robe, puis je rejoins Mr Mirvin et Mr Cellendhy.

Je suis pas trop sûre que partir serait le mieux pour nous mais comme nous n'avons pas vraiment le choix, je me prépare...enfin, ce n'est pas comme si j'avais grand chose à préparer....

Je regarde donc mes comagnons se préparer pour le voyage quand Mr Cellendhyl marque un point important....

"Je pensse que le mieu serait de prendre le train jusqu'en allemagne. C'est un moyen rapide d'atteindre notre but. Arriver a destination on essayera de se faire plus discret. Les train sont aussi remplit de monde, il y a tres peu de chance de subir une attaque dans un lieu publique.... en tout cas moin que de marché dans des rue sombre pendant des semaines....."

Je commence à rougir puis bégayer....puis finalement j'attire l'attention des mes deux compagnons...

Hum...je....je....je...n'ai pas.....d'argent pour payer le train....

Je sens les larmes me monter aux yeux, la honte d'être pauvre, je me sens si humiliée et honteuse, je baisse la tête n'ose plus dire un mot....

Réfléchissant quelques minutes à la proposition de son ami aux cheveux de feu, Marcus finit par sortir de sa poche tout son pécule et l’étale sur la laine marron des couvertures pliées. Il y a là un peu plus de 100$.
« J’pense qu’ça fera l’affaire si tu r’joute c’que t’as Cellendhyl et toi aussi, ma p’tite ».
Au final, un peu plus de 350$ traînait sur la pièce de tissu. Empochant le tout d’un coup, Cellendhyl qui était à l’origine de l’idée se dirigea à l’extérieur de la paroisse, maintenant suivie par les deux autres. Le trajet Nantes – Stuttgart allait obligatoirement passer par Paris puis Strasbourg et 350 $ ne seraient pas suffisant, ils allaient devoir frauder le long d’une de ces lignes mais bon, c’était la vie.

Tout se passa bien jusqu’à la grande ville française qui les accueillis dans des fourgons de fer, ver géant des citées, la grande gare. Le train se mit en branle doucement, et c’est dans le dernier wagon de la dernière classe, attroupés avec d’autres plus ou moins misérables que les trois laissèrent la ville qui les avait recueilli dans le sang pour se rendre dans un pays dont ils ne connaissaient pour ainsi dire rien du tout.
La chaleur du train baissa tout doucement alors que la tête de la petite tomba sur ses genoux…

Voyant les tête de mes conpagnon peu propice a la discution je desida a me pencher sur le coter et fermer les yeux. Même si je n'aime pas les vision de cauchemard que me donne mes reve il faut bien reprendre un peu de force.

Fermant tout doucement les yeux par acout je fini par etre transporter dans mon subconsient, un endroit sombre et cruel ou il n'existe que haine et soufrance.
Mais pour moi c'est un passage obliger, c'est ma descente au Enfers....le seul vestige de mon passé oublié.....

Je ferme les yeux...les bercements du train, les bruits répétitifs de la ligne....mais je ne dors pas...je reflechis.
Il est clair que l'argent va nous manqué mais bon soit....j'ai toujours fait avec depuis ce funeste jour....
J'ouvre les yeux:Selenia dort,Celendhyl aussi mais d'un sommeil agité...je tente de le reveiller et a peine lui ai-je posé ma main sur l'épaule que je me retrouve plaqué a la banquette une main a la gorge!!!!
Il reprend ses esprits:"Qu'est ce que tu veux!!!Ne refais jamais ça!!"
"s'cuse moi mais t'semblait mal en point dans ton sommeil et Faut qu'j' te parle avant qu'on arrive...J'pense que l'mieux serait de frauder entr'Paris et Strasbourg vu not'frique,et c'est sur qu'faut pas frauder au passage d'la frontiere, c' trop risqué!"
Il réfléchit un instant..
"Mouais c'est pas con!!Mais bon on verra!!"
"Oh et une derniere tite chose...Euh sa risque d'te vexer...
Il me jette un regard furieux!
"Quoi encore!!!!!"
"euh...j'suppose qu't'en est tres fier mais ta grand'lame faudrait un peu la planquer...c'est pas trop courant dans l'coin"
La dessus je m'attend a une fervente riposte de sa part..

Le trajet en train se déroula d’une monotonie sans égale, les quelques arrêts donnant aux voyageurs du dernier wagon la possibilité de souffler un peu, de prendre l’air et surtout d’entamer une longue partie de cache cache entre eux et les contrôleurs qui se montrèrent méticuleux à l’extrême. Mais quoiqu’il en soit, la locomotive mécanisée atteint bientôt la frontière, le jour du 25 Mai, joignant les rails allemandes pour enter en pays inconnu.
Après avoir plus d’une fois demandé à d’autres voyageurs l’arrêt, un résonnement plaintif sortit des hauts parleur : « Beachtung Beachtung, Stuttgart in Konzept!».

D’ici, la locomotive s’arrêta, déversant devant les quais gris de la gare un flot de passagers dans lesquels se trouvaient trois personnages dont deux qui se remarquaient par leurs habits et accessoires. La ville allemande, aux nombreux panneaux de direction (Zimmer, Autobahn...) menant partout avait la fâcheuse impression d’entrer dans un labyrinthe…

Perdu au milieu de ces innombrables panneaux de direction,tous plus incompréhensibles les uns que les autres pour moi,je me retourne vers mes compagnons:
"Bon...la seule chos'que j'sais c'qu'on a encore un's'maine avant l'ouverture d'l'exposition,alors.....on d'vrait d'ja prendre nos marques et trouvé un endroit r'tiré pour pioncé... et ensuite seul'ment trouvé l'grand museum...on a un peu d'marge"
"Vous en dit'quoi?"
Le flot des voyageurs commence à s'interrompre....rendant un peu de calme au lieu...

Je me réveilla subitement de mon cauchemard passé......
Cela ne finira donc jamais?

Je me redresse donc et cherche des yeux mes compagnons....
Où ils sont? ils m'on pas laissé toute seule quand même???
Effrayée, je regarde aux alentours, plein de voyageurs, beaucoup de monde, mais pas une trace d'eux.....
je sens les tremblements venir, les larmes couler involontairement sur les joues

Ils m'ont abandonnée

Abandonnée, voilà le mot qui résonne dans ma tête, je susi trop pleurnicharde, voilà pourquoi ils ne veulent plus de moi!!!
j'essaie de me contrôler, c'est dur, mais je fini par y arriver, je dois être forte, je dois survivre! seule! ce n'est pas la première fois....

Alors que je sens que le train commence à repartir, j'ai le réflexe de descendre, je ne sais pas pourquoi....de toute façon je n'ai nulle part où aller.... peut-être simplement l'espoir de penser qu'ils m'ont tout simplement oubliée, qu'ils veulent encore de moi.....

Les larmes coulent à nouveau sur mes joues, je baisse la tête, j'avance dans la masse de gens s'étalant sur le quai de gare.
Je ne vois pas le grand homme venant à contre sens et le percute de plein fouet, je tombe....
-Ouille!!!
Mon visage baigné de larmes, je me relève en lui lançant un rapide "désolée", et je reprends ma marche alors que l'homme, ne désirant apparament pas me quitter ainsi, attrape mon bras, me forçant à m'arrêter.....

L'air morose apres un someille plutot agité j'essaie de penssé au moin de chose possible. La foulle me fait mal a la tête et le regard de tout se mode me donne le tournis.

Je remarque bien trop tard que mirvin ma posé une question, essayant de la rendre la plus courte possible :

" Ouais, il nous faut un abris, discret, nous devons aussi vérifié tout notre équipement, si nous devons nous battre se serait assez chian de le faire avec une lame émoussé.

Regardant a droite et a gauche je me surpris a sentir un vide, comme si quelque chose avait disparut quant je compris c'est avec stupeur que je m'exclama :

" Argggg la gamine, elle a disparut.... En a encore du se perde. Elle a du telement pleurer quelle voyait pas ou elle allais...